Peinture à l'huile sur toile de très haute qualité |
Travail réalisé par notre atelier d’artistes peintres |
Toutes autres dimensions réalisables en respect des proportions |
Cette œuvre est dans le domaine public (propriété intellectuelle) |
Sa reproduction est légale et respecte la loi sur les droits d’auteurs |
Un certificat valide ce travail de copiste professionnel |
Réalisation de l'œuvre uniquement sur commande |
Livraison après validation du travail (finition et retouches) |
Prévoir un délai pour la création de la peinture de 3 semaines |
Peinture livrée dans un emballage spécial de protection tableau |
En 1780, le couple Fragonard donne naissance à un nouvel enfant Alexandre-Évariste Fragonard (1780-1850), qui deviendra lui aussi artiste. En 1788, leur fille Rosalie meurt au château de Cassan à L'Isle-Adam, en région parisienne. Durant la Révolution, il séjourne à Grasse (1790-1791) chez son cousin Alexandre Maubert. Fragonard devient membre de la Commune des Arts en 1793. Par la suite, il est nommé l'un des conservateurs du musée du Louvre par l'Assemblée nationale à la suite de l'intervention de Jacques-Louis David.
En 1805, tous les artistes résidents, dont Fragonard, sont expulsés du Louvre par décret impérial, consécutif à la réorganisation de l'édifice en musée Napoléon. La disparition de l'aristocratie commanditaire — ruinée ou exilée — lui fait perdre sa grande fortune. Il s'installe alors chez son ami Veri, au Palais-Royal. L'année suivante, il meurt, apparemment terrassé par une congestion cérébrale dans son nouveau logement situé aux galeries du Palais-Royal, dans l'indifférence quasi-totale de ses contemporains. Les funérailles sont célébrées à l'église Saint-Roch. Il est inhumé à Paris dans l'ancien cimetière de Montmartre, où sa tombe remplacée a disparu vers le milieu du 19ème siècle, une plaque cénotaphe en marbre étant apposée sur le mur de l'emplacement où se trouvait sa sépulture.